<p>Exceptions seront pour certains aliments pré-faites, comme la charcuterie, pain et crèmes glacées. Plats sous-vide semblent avoir fait la coupe ainsi : Didier Chenet, Président du Synhorcat, a dit TF1 télévision la semaine dernière que « ils ne sont pas ça démodés », et que restaurants pourraient encore se disent « restaurants » si ils a servi de nourriture qui avait été « gelé ou emballées sous vide. »
Mais GlobalPost dit la proposition fait des gens malheureuses, plus précisément de l’UMIH, principale association restaurateurs de France. Ils disent que la proposition « créerait une confusion complète avec le public, les clients et les touristes étrangers en particulier », et qu’il aurait « des conséquences dramatiques en termes d’emploi, en particulier pour les jeunes ». Environ un quart du restaurant de la France, les travailleurs sont moins de 25 ans.
Selon RFI, ceux qui sont derrière l’espoir de proposition, qu’elle répète le succès d’une loi de 1995 qui ne permettait que les établissements qui ont préparé le pain et pâtisseries à partir de zéro d’employer le terme « boulangerie ». RFI a également fait remarquer que cette proposition de loi suit les traces de la nouvellement lancé label « restaurant de qualité » a créé ce passé avril par Collège Culinaire de France, un groupe de 15 membres industrie qui inclut les chefs Alain Ducasse, Joël Robuchon et Guy Savoy.
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