<p>Craignaient sa réputation gastronomique est soit endommagée par les restaurants de qualité inférieures, la France envisage interdisant de se faisant appeler restaurants si les repas ne sont pas fabriqués à partir de zéro par nos chefs internes établissements.
Le mouvement, soutenu par l’union de restaurant Synhorcat et un groupe de législateurs, a pour but de sévir contre la prolifération des restaurants servant des plats préparés ébullition-dans-un-sac ou au micro-ondes comme une cuisine de qualité restaurant.
Mais la proposition est confronté à la résistance de certains propriétaires de restaurant, qui craignent Il blessera l’industrie par entraîne une hausse des coûts et avertissement d’importantes pertes d’emplois ne sont.
La proposition, du député Daniel Fasquelle de l’opposition de droite UMP, est qui sera soumise au Parlement ce mois-ci comme une modification à un nouveau projet de loi de droits du consommateur.
Il limiterait le droit d’utiliser le terme restaurant aux restaurants où la nourriture est préparé sur place à l’aide de matières premières, frais ou congelé. Exceptions seraient faites pour certains produits préparés, comme le pain, charcuterie et glace crème.
La proposition vient après un Synhorcat étude a révélé que 31 % des restaurants français purgent actuellement des produits alimentaires préparés industriellement au lieu de leur propre cuisine. Et experts soupçonnent plus de nombreux restaurants sont à l’aide alimentaire industriel mais n’admettant ne pas it.
Alain Fontaine, propriétaire du restaurant Le Mesturet au cœur de Paris, a déclaré la distinction est importante.
« Cela signifie que nous avons des chefs qui développent les recettes et les prépareront, contrairement à ceux qui ont pris la décision de couper les sacs ouverts et réchauffer, » dit-il.
Ceux qui sont derrière la proposition espèrent imiter une loi de 1995 qui limitait l’utilisation de la boulangerie en terme d’établissements qui ont préparé le pain et les pâtisseries à partir de zéro. Que la Loi est généralement considéré comme ayant donné un coup de pouce aux boulangers traditionnels.
, Mais six autres groupes restaurant la semaine dernière, a déclaré leur « opposition massive » pour le déménagement.
Dirigé par l’UMIH, la principale association de restaurateurs, adversaires dit la proposition « créerait une confusion complète avec le public, les clients et les touristes étrangers en particulier ».
Ils ont dit, il aurait des « conséquences dramatiques en termes d’emploi, en particulier pour les jeunes, » avec environ un quart des travailleurs restaurant de France moins de 25 ans.
Le groupe a suggéré que France au lieu de créer une nouvelle catégorie de restaurant « artisanale » pour mettre en évidence ceux qui préparent les aliments à partir de zéro.
La proposition n’est qu’un des plusieurs tentatives récentes d’aborder ce que beaucoup considèrent comme les normes en déclin de la France célèbre restaurants.
En avril, le Collège Culinaire de France–un groupe de 15 membres industrie fondé par les grands chefs du pays–a lancé un nouveau label « restaurant de qualité » décerné aux restaurants qui répondent aux albums de cuisson et de normes de service.
Le groupe culinaire–qui compte des membres tels que Alain Ducasse, Joël Robuchon et Guy Savoy–accordera le label aux restaurants qui le méritent et s’assurer que les normes sont respectées par le biais de sondages en ligne.
De nombreux sites Web est également recadrage place en France pour conseiller les consommateurs sur les restaurants où la nourriture est préparée en interne, tels que restaurantsquifontamanger.fr, mis en place l’an dernier par amoureux de nourriture-Alain Tortosa.
« Il y a des chefs de tous les âges qui veulent nous faire distinguer de leurs concurrents », dit-il. « Ils disent » j’arrive à ma cuisine à 07:00, et ils ont un camion de livraison qui arrive à 11:00 « ».
Fast-Food et emporter l’an dernier ont représenté 54 % du marché français, ou 34 milliards d’euros (46 milliards$) dans la vente, pour la première fois vend mieux que le traditionnels repas assis avec service à table.
AFP