<p>La presse plus critique avec Bruxelles avait donné le thème parfait. Quelque chose de direct, qui touche tout le monde et qui peut se présenter comme un résumé des défauts du mécanisme institutionnel européen. L’interdiction aux bars et restaurants offre de bouteilles d’huile que les clients peuvent être utilisés maintes et maintes fois a été une mesure pour assurer la qualité du produit et de lutter contre la fraude pour la Commission européenne. Mais le premier ministre britannique David Cameron a décrit comme « l’exemple du genre de chose que l’Europe ne devrait même pas discuter », tandis que le journal allemand conservateur Die Welt résumait comme « un symptôme de l’inflation de l’appareil de l’Union européenne ». Suite aux pressions exercées par les gouvernements du Nord et – aussi-Nord – consommateurs, Bruxelles renversé hier.
Le changement annoncé par le commissaire à l’agriculture Dacian Ciolos, outrés de producteurs, notamment le secteur d’aceitunera de l’Andalousie, communauté qui fournit 80 % de la production d’huile d’olive espagnole et 40 % de la planète. Malgré le fait que le gouvernement espagnol ne considère pas la décision des sources de la communauté du finales du commissaire Ciolos a insisté pour que le projet a été abandonné, et il n’y a pas de perspective de reprise it.
« Depuis vendredi dernier, j’ai vu et entendu des opinions contraires, principalement des pays consommateurs. Il est clair que cette mesure, qui s’efforce d’aider, de protéger et d’informer les consommateurs, n’a pas trouvé son soutien, « a reconnu responsable de l’agriculture européenne, dans un apparent tour de parole qui, jusque-là, étaient les chefs de la communauté. Le ministre d’espagnol Miguel Arias Canete avait dit juste deux jours avant que l’interdiction aurait « un impact positif sur le secteur à court, moyen et long terme ».
Ciolos se réunira l’industrie hôtelière et les consommateurs de soumettre une nouvelle proposition. Mais l’obligation d’ici 2014 pour les bars et restaurants de toute l’UE de fournir des bouteilles d’huile va inévitablement.
En plus de l’Espagne, quatorze autres pays – parmi qui étaient la France, Italie, Portugal et Grèce–a appuyé l’initiative dans un Comité technique la semaine dernière. Malgré les critiques dures par Cameron et son équipe, la France s’est abstenue, plutôt que de voter contre, comme Oui fait États tels que l’Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Autriche, Suède ou Danemark.
Le ministre andalou de l’agriculture, Luis Planas, estime que la Commission « a cédé à la pression » des grands groupes de la distribution de pétrole, qui ont leur centre d’opérations en Europe centrale et septentrionale. L’Organe espère une rectification de Bruxelles, parce qu’il considère l’interdiction d’huile rechargeable en guise de grande importance « pour valoriser le produit et aider à augmenter les revenus de la filière oléicole ». La Fédération andalouse des sociétés coopératives agricoles jugé une « absurdité » marche arrière. C’est, disent-ils, une mesure du peu d’impact économique « qui a été annulé par la pression des pays non producteurs, principalement Allemagne et Royaume Uni ».
La décision surprise, car quand on a annoncé 10 jours seulement s’étaient écoulées depuis que la Commission européenne avait fixé une date d’expiration à huile rechargeable. À Jaén, la principale province productrice, est déjà en place un projet pilote dans une douzaine de restaurants, qui remplacent les bouteilles pour l’emballage avec l’étiquetage d’origine et non rechargeables Cap.